Non catégorisé

Mercredi 13 février 3 13 /02 /Fév 16:00

J’ai environ 20 ans et ai déjà fait pas mal de plans cul sur Paris. Alors que je surfais tranquillement sur un site de rencontre mec, un mec vient me parler. Il a rapidemment compris mon côté soumis et me parle déjà comme une chienne. La plupart du temps, les mecs font beaucoup de blabla sur les tchat mais devant le fait accompli, ilssont incapables de faire la moitié de ce qu’ils ont dis. Mouai, j’accepte quand même.

Une heures après, je me trouve dans le 16ème devant son appart. La porte s'ouvre, il me lache un grand smile. A peu près 1m80, corpulence moyenne, mais avec des pecs. Le mec passe partout, ni beau ni moche. Rapidement il me propose un drink. Pendant que je bois, il se met à me tripoter. Je pose mon verre, il me prend la tête et me roule une pelle comme un forcené. Sa bouche est tellement énorme que j'ai l'impression d'etre face a une laveuse de voiture. Il me mate d'un coup avec un regard vicelard et me crache à la figure: «Prépare toi ma jolie, tu es ma chienne cet après-midi!» À ces mots, je bande aussitôt, il remarque. «Vite à poil!» Je m’exécute.

Entierement nu devant lui alors qu’il est encore tout habillé. Il me tâte le cul... «Ah ce cul, putain... ça sert à rien de payer une nana quand on peut avoir un cul comme celui la.» Il me fout à quatre pattes, le cul tendu devant lui. Il me laisse dans cette position pour aller chercher un flacon de Jungle juice Black Label. Il revient se mettre juste derrière moi, il me presse les fesses, ses doigts parcourentt le long mon cul. Il me fait sniffer à grande inspiration son poppers, je plane... Etre en soumission à poil devant un mec tout habillé me tripotant les fesses m’excite comme un dingue. «Ton cul, je vais me faire un plaisir de te le défoncer comme il faut!» Je monte encore plus mon cul en l'air

— Prends le!

— Ta gueule toi, je t’ai pas autorisé à parler...»

Il me lance un enorme claque sur le cul. «Maintenant t’as pas la choix, tout ton corps est à moi.» J’entends des cliquetis, je me retourne, il me photographie. Il me redonne le poppers à sniffer, mon cœur s’accélère comme jamais.

Je commence a sentir un truc doux se poser sur mon trou humidifié par l’excitation. Il est train de me bouffer le cul avec fougue. Je commence a gémir comme une femelle, sa langue douce et forte pénètre mon cul. Jamais je ne me suis ouvert aussi facilement. Et carrément il me donne la bouteille de poppers et me dis continuer à sniffer. J’inspire trois/quatre fois à chaque narine. L’excitation avec le produit me rend tout fébrile, me mains ne me retiennent plus, ma tête se plaque violament sur le sol, le cul  toujours en l'air. À ce stade la il peut faire de moi ce qu’il veut, le poppers a eu raison de mon moi !!

Enfin il se déshabille. Tout en le faisant, il glisse ses doigts dans le trou. «Une bonne chienne comme j’aime. Tu vas voir, tu vas kiffer, tu vas m'en redemander. Prends en encore! Allez!» Pendant que je repris mes sniffettes, il se met complètement nu. Il me crache salement sur la raie et étale tout ca avec ce que je devine être sa bite. Un engin conséquent soi dit en passant!! Il commence faire des va-et-vient sur la paroi. Là, il me rentre dedans d’un coup. Comme dans du beurre, même pas besoin de lube. Les va-et-vient sont de plus en plus brutaux, je suis aux anges! D'un coup, un éclair de lucidité me revient. Je l'enleve de moi. «Pas sans capote!» Il semble énervé mais n'ouvre pas la bouche.

Il me retourne contre le sol, me met sa queue dans la bouche. Son gros morceau se tenait là devant moi, luisant avec ma mouille. En me tenant il me pilonne violamment la bouche. Les seuls moments où il me lâche sont, pour me fourrer le poppers sous le nez. Après un quart d'heure de limage intensif, il m’emmene dans sa chambre où Il me met sur le dos dans son lit et se jette sur moi. En me doigtant le cul, il me remet sa queue dans la bouche. Il me retourne ensuite brutalement, m'écarte les bras et me fait m’agripper aux barreaux du lit. Il me dit de ne pas bouger. Les cliquetis reprenent, je ne sais même pas s’il prend mon visage en photo mais il y a peu de chance qu’il rate l’occasion de me prendre en photo pendant que je savoure sa queue. Lorsque les cliquetis cessent, il se remet sur moi, m’attache les mains solidement avec des cordes. Je ne veux pas qu’il m’attache, je ne le connais à peine, mais rien à faire, il a est bien plus fort que moi. Je me retrouve les deux bras tendus, attaché à son lit.

Il se releve et commence a reprendre des photos. Ensuite il se rapproche et me bande les yeux. Encore une fois, je veux protester mais ligoté et sous Jungle Black, je ne peux guère faire grand-chose. Il me rebalance le flacon sous le nez et me lance... «Belle chienne, maintenant que tu es ne peux plus bouger, les choses sérieuses vont commencer!» Il se met derrière moi et ses jambes maintienne les miennes en écard. S’en suit une grande et longue série de baise avec des godes, j’ai a peu près eu tout les tailles de godes en moi. Il me les enfonçait avec force et comme un malade. Le poppers a complètement distendu mes parois. Tout entre facilement, excepté le dernier qui me parait énormissime, à tel point qu’il me fait hurler. «Ouais vas-y crie, crie à quel point t’aimes qu’on t’enfonce des objets dans le cul!» Il me retire l’énorme god du cul et me refait sniffer son produit maléfique. Je suis dans les vapes à moitié évanoui et à moitié en transe. Je retrouve à nouveau dans l’état d’abandon psychologique...

Il le sent et me fourre sa queue dans le cul de plus belle. J’essaie de me dégager mais il me maintient avec force. J’essaie de protester mais rien à faire: «Ferme-la sale chienne! C’est comme ça que je veux te défoncer.» Tous les sniffs de poppers m’empêchent d’avoir des gestes coordonnés. Il me bourrine comme jamais, sortant sa queue entièrement pour la rentrer en un seul coup. Le plaisir que sa violence me procure me forçe à m’abandonner à sa queue. Je savoure chaque va et vient. Jamais, non jamis on ne m’a sauté comme ça, c’est divin, du grand art. Il me souleve le bassin pour mieux me défoncer. J'ai l'impression qu'il s’enfonçe de plus en plus profondément en moi. À chaque contact avec mon cul, ses couilles et les miennes s'entrechoquent et s'entrechoquent encore.

Il me retourne, je croise les bras mais suis toujours attaché. Il me remet le Black Label sous le nez, je bande comme jamais. Je sent qu’il passe une petite corde autour de mon sexe et mes couilles. Il m’avait fait un cockring. Les cliquetis se firent encore entendre. Il me débande les yeux, je vois quatre ou cinq godes de tailles différentes sur le sol, ma queue gonflée à bloc étranglée par la corde. Je le regarde, il prend encore des photos de moi, attaché et soumis, tel un vrai salaud. «Ça servira pour plus tard!» me lance t'il, enfin c'est ce que je pense capter dans un état qui est proche du coma paradisiaque.

Après encore 10 minutes de limage violent, il se contracte, vient en moi, dans mes entrailles. J’ai essayé de me dégager quand j’ai senti qu’il allait venir mais il me maintenait avec ses gros bras et je ne pus rien faire.

La je pense qu’il va me détacher mais rien. À ce moment-là, son téléphone sonne. Il me tire fort par les cheveux me dit: «Pas un mot, compris?» il décroche. Tout en parlant au téléphone, il s’approche de moi et me met a nouveau un plug dans le cul puis s'en va dan la piece d'a coté. Je reste la, en position franchement indélicate, les bras attachés et croisés, le cul rempli de sperme et fermé par un plug.

A ce moment la, je comprends que mon après-midi ne fait que commencer...

Par vrai-poppers
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Mercredi 13 février 3 13 /02 /Fév 15:47

Le Poppers est un produit qui se conserve au frigo une fois que tu l'as ouvert et utilisé.

N’oublie pas que le poppers s’évapore ( vite...) et vieillit vite, conserve-le dans un endroit frais et rebouche-le bien après chaque utilisation. N’oublie pas que son effet, même s’il dure peu, est susceptible de te conduire à un mauvais contrôle de tes pratiques Safer-sex et ce comme toute drogue. Alors prends en, mets une capoe et éclate toi !

Par vrai-poppers
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Mercredi 13 février 3 13 /02 /Fév 15:37

Avant l'intredicion en France en 2011 du Poppers à la vente, il s'etait écoulé 15 millions de flacons !!!!  On peut vraiment dire que le Poppers est presque devenu le troisième partenaire d’un plan cul…

De plus en plus de mecs ne peuvent s’en passer pour avoir des rapports sexuels. Dans bien des cas, l’addiction est totale car elle s’accompagne d’une énorme dépendance psychologique liée de près aux prouesses sexuelles et au désir de dépassement de soi.

Attention danger cependant. Sniffer du poppers à chaque fois que vous baissez votre fute n’est pas la solution et comme toutes les stimulants, le Poppers n’est pas sans danger pour la santé et une consommation accrue peut avoir d’énormes retombées sur votre corps ainsi que sur vos performances…

Amyl, butyl ou isobutyl les nitrates du Poppers que l'on achète....

Ce sont les nitrates vendu en petite bouteille que l’on sniffe. C’est un vasodilatateur qui provoque une montée puissante. Son effet dure à peu près deux minutes. Il est utilisé dans les relations sexuelles pour favoriser la pénétration anale car il détend les muscles et l’érection par son effet vasodilatateur.
C’est aussi un désinhibiteur psychologique permettant de faire reculer ses limites tout en intensifiant le plaisir ressenti.
Principalement connus comme des aphrodisiaques, les poppers se présentent sous deux formes : les “nitrites d’amyle” et les “nitrites de butyle”. Ces stimulants furent popularisées lors d’activités sociales, particulièrement par les gays, et utilisées pour accroître les sensations procurées par la musique, le rythme, le mouvement et la lumière. Le “nitrite d’amyle” est offert sous forme de petites ampoules de verre c'est pour cela que son nom vient de l'anglais POP qui évoque le bruit lors du débouchage.

Quant aux dérivés du “nitrite de butyle” ils sont offerts en contenants de 12 ml. Ces stimulants sont consommées par inhalation par le nez .

Elles peuvent causer des brûlures à la peau lorsque elles sont répandues. Elles sont fortement toxiques si elles sont injectées et avalées. Il fau faire atention à ne pas laisser la bouteille sur la parroie du nez...

Les poppers augmentent le rythme cardiaque, dilatent les vaisseaux sanguins et diminuent la pression artérielle. Ils procurent un sentiment de chaleur humaine, d’exaltation, de félicité, de lâcher-prise et de vertige.

Ils accroissent les sensations provenant de la lumière, du mouvement et du son et altèrent les perceptions sensorielles. Ils peuvent provoquer des hallucinations. Les poppers relaxent les tissus musculaires lisses (comme l’anus) et endorment les sens. Cet effet peut empêcher de sentir des irritations ou des déchirures lors de relations sexuelles, et peut donc augmenter les risques de transmission du VIH et d’autres MTS, et de traumatisme corporel, il faut donc en consommer avec modération et faire attention avec son usage.

Par vrai-poppers
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Mercredi 13 février 3 13 /02 /Fév 15:29

De passage à Paris pour la première fois, j’avais entendu parler des backrooms Parisien. Ma curiosité était trop forte pour ne pas y mettre les pieds. Vivant à Dijon et n’ayant jamais bougé de ma région, sauf une fois pour aller à Metz pour du boulot, je n’avais donc jamais vu un backroom Parisien. 

On m’en parlait souvent, alors j’y ai été et voici ce que j’y ai fait ce soir là.

Je tournais en rond dans un backroom Parisien, je marchais en matant les mecs qui me lorgnaient des yeux. J’étais bien beurré, j’avais bu plusieurs consommations au bar.

Mon Poppers « Jungle Juice » dans la poche, je me dirige vers une pièce noire. A peine rentrée que je sentais des mains me tripoter la bite, les fesses… De suite, mon pantalon se retrouvait déboutonné et mon pantalon était baissé jusqu’aux chevilles.

Je baladais mes mains un peu partout, je touchais les queues qui se présentaient autour de moi, je tripotais les teubs… Il y en avait des petites, des moyennes… Jusqu’au moment où je tombe sur une bite hyper longue et pas trop épaisse mais pas fine non plus.

Je me suis mis sur les genoux et j’ai rentré la bite du mec dans ma bouche, je ne voyais pas son visage, je ne voyais rien autour de moi, c’était le noir total. J’ai commencé à faire un va et vient avec ma bouche sur cette bite, je la suçais tout en tournant ma langue autour de son gland et je jouais avec son long prépuce.

Le mec me mettait une bouteille de Poppers sous les narines pendant que je lui suçais la teub. J’ai sorti mon Poppers « Jungle Juice » car je préfère le Poppers « Jungle Juice » et j’ai reniflé cette bonne odeur de Poppers « Jungle Juice » et j’ai senti l’effet du Poppers me monter à la tête lentement mais sûrement, car après avoir rebouché ma bouteille de Poppers « Jungle Juice », j’ai senti une excitation monter en moi.

La bite du mec ne mesurait pas moins de 25 Cm voir 28 Cm. Comparé à moi, ma queue mesure que 16 CM. Une grosse bite qui rentrait parfaitement dans ma bouche, la taille de sa queue était faite pour mon gosier. Le keum était mince et avait le torse imberbe, les couilles rasées et très peu de poil sur le pubis. Les couilles étaient bien pendantes et lourdes de sperme…

Petit à petit, au fur et à mesure que je pompais sa longue queue, je rentrais un peu plus de Cm de sa bite dans ma bouche à chaque va et vient. J’étais bien bourré et sous Poppers…

Je pouvais sentir de temps en temps la mouille qui suintait de son gland. Le mec mouillait pas mal et je sentais le goût de sa mouille qui disparaissait quand j’avalais ma salive et ré-apparaissait peu de temps après.

Dès que le gland de la longue et grosse bite du mec avait dépassé ma glotte, j’ai senti ses mains de chaque côté de ma tête, au niveau de mes oreilles. Le mec appuyait ma tête contre lui jusqu’à rentrer sa bite en entier dans ma bouche. Le gars pilotait lui-même les vas et viens, il me baisait la bouche en fond de gorge à grandes cadences. J’avais de rare haut le cœur, sa bite était au bon diamètre pour ma gorge… La teub du mec rentrait comme une lettre à la poste. Ma bouche était devenue en moins de deux un trou pour ce mec inconnu, il me pilonnait la tronche lentement sur toute la longueur de sa bite jusqu’au fond de ma gorge. Il faisait pivoter ma tête de droite à gauche tout en me limant le fond de ma gorge, les gestes du mec étaient lents mais réguliers.

De temps en temps je re-sniffais un coup de Poppers et je remettais aussitôt ma bouche à dispo de ce mec que je ne voyais pas… Je me laissais faire, j’étais dans un très bon trip. Je me masturbais doucement la bite en frottant légèrement le bout de mon gland mouillé par l’excitation et je faisais gaffe de ne pas juter trop vite car je kiffais trop être l’objet sexuel de ce mec…

Je tenais dans l’une de mes mains ses grosses couilles douces et pleines, de l’autre main, je me touchais la queue… Le mec n’arrêtait pas de me mettre sa bouteille de Poppers sous le nez et je reniflais à chaque fois, car ce mec le voulait et que cela le faisait kiffer. Sa bite me plaisais beaucoup car elle était de taille vraiment géniale et en harmonie avec ma bouche de pompeur que je suis.

J’ai 24 ans et c’est la plus belle bite que je n'ai jamais vue et pourtant, j’en ai pompé pas mal des bites… J’ai commencé à sucer des queues tout jeune, j’avais à peine 15 ans quand j’ai sucé une bite pour la première fois.

A un moment, tout en continuant à me baiser lentement la bouche sur toute la longueur de sa bite, j’ai commencé à sentir dans ma bouche, un peu plus de liquide que sa mouille…

C’était presque rien, mais ce liquide n’avait presque pas de goût, c’était chaud, plus chaud que le sperme et pas du tout visqueux comme peut l’être le foutre. J’ai avalé sur le coup, car pris par l’excitation et sous Poppers, je ne me suis pas posé de question.

Je n’ai rien dis et le mec continuait à me pilonner lentement la bouche, son gland était au fond de ma gorge à chaque va et vient. Sa bouteille de Poppers était continuellement sous mon nez, j’étais bien dosé au Poppers et par les Whiskys avalés une demi-heure avant.

A peine 30 secondes plus tard, je ressentais ce même liquide dans ma bouche, j’ai su qu’il me lâchait des jets de pisse dans ma bouche tout en me baisant la tronche… J’ai encore avalé…

Je n’avais jamais bu la pisse de quelqu’un d’autre avant lui. Les jets de pisse qu’il me lâchait dans la bouche étaient si petits que je pouvais avaler, cela me donnais l’impression qu’il jutait dans ma bouche toutes les 30 secondes, c’était trop excitant…

Je ne suis pas le mec qui avale le jus et la pisse de mes partenaires, c’est vraiment la première fois que je faisais cela… Je me laissais emporter par l’excitation et les effets du Poppers…

Le mec voyant que j’avalais sa pisse sans bronché m’a lâché un jet de pisse un peu plus volumineux que les premiers. Toutes les 30 secondes, je sentais la pisse couler et j’avalais tout en continuant à le sucer. Je déglutissais sa bite quand elle passait dans ma gorge et quand la bite ressortait, c’était le moment où j’avalais sa pisse. 

Ces jets d’urine qu’il me faisait boire était des petits jets de pisse en petites quantités…

A un moment, il s’est arrêté de me baiser la bouche, il est resté fixe, sans bouger tout en gardant sa queue au fond de ma gorge, sa bite en entier dans ma bouche. Ses mains tenaient ma tête contre son ventre, il appuyait fort ma tête contre lui pour m’empêcher de retirer sa bite de ma bouche. Je sentais presque rien, mais je savais qu’il était en train de me pisser au fond de la gorge.

Je bandais si fort que j’étais à deux doigts de jouir, mais je lâchais ma queue de temps en temps pour ne pas juter et j’attendais que le mec reprenne le va et vient dans ma bouche. Je n’avais pas besoin de déglutir car son gland était si loin dans ma gorge, que la pisse du mec tombait directement dans mon estomac.

Il reprit les mouvements dans ma bouche, j’étais grave excité, j’étais devenu une lope en moins de 10 minutes et le mec en profitait grave et se faisait vraiment plaisir. Je sentais vraiment que c’était son tripe et qu’il adorait ça… J’adore faire plaisir aux mecs, surtout quand je prends du Poppers… Mais quand même pas jusque là… Mais bon, je n’avais soudainement plus aucun tabous. J’étais devenu sa chose, son jouet, son urinoir…

Le mec mouillait tellement du gland que j’avais la salive de plus en plus gluante. J’ai voulu cracher par terre, mais dès le premier crachat sur le sol, le mec m’a dit :

« Non, ne crache pas, avales tout ce qui sort de mon gland »

Je n’ai rien répondu et j’ai remis la bite du keum dans ma bouche. Il me laissait de temps en temps faire les mouvements sur sa teub. Je suçais sa bite sur toute sa longueur et je jouais aussi avec son gland et son long prépuce. Il lâchait aussi des jets d’urine quand je lui suçais le bout du gland. Je serrais mes lèvres bien autour de sa queue pour pas en avoir sur le pantalon, ainsi que sur mon tee-shirt.

Le gars m’a retenu la tête encore une fois entre ses mains pour m’empêcher de bouger, il a rentré la moitié de sa queue dans ma bouche, j’ai su de suite ce qu’il comptait faire, alors, j’ai serré mes lèvres sur sa bite et j’ai immédiatement senti le jet d’urine taper sur ma langue. J’ai avalé une gorgé, mais comme il se lâchait complètement dans ma bouche, j’ai avalé progressivement sa pisse par plusieurs gorgés…

Le keum avait la vessie très pleine, j’avais le ventre rempli, comme après avoir bu une bouteille d’eau en entier.

Une fois que le mec ait fini de se vider la vessie dans ma bouche, j’ai repris mon activité en pompant sa queue tout en serrant et en malaxant ses couilles dans mes mains, je ne pouvais plus me toucher la queue car j’étais vraiment à deux doigts de juter sans me toucher la bite tellement j’étais trop excité…

Je kiffais grave sa queue, elle était douce, son gland était si doux et si bon, la mouille qui sortait de sa teub quasiment en continue était si sucré que ma salive était vraiment gluante, j’avais presque du mal à avaler… Mais j’avalais sans broncher tout ce qui sortait de sa queue comme il me l’avait demandé… J’étais complètement soumis à ce mec que je n’ai pas encore vu et dont je ne connais strictement rien de lui… Je sais juste qu’il est mince, imberbe et bien teubé, mais c’est tout…

Je suçais sa bite de toute sa longueur et en tournant ma langue sur le gland quand sa queue était quasiment hors de ma bouche. Il me frottait les cheveux pendant que je lui astiquais le chibre. Je lui faisais quelques gorges profondes de temps en temps, j’adorais sentir son gland défoncer ma glotte en fond de gorge. J’aspirais doucement le bout de son gland pour extraire le maximum de mouille et une fois la bouche rempli, j’avalais le mélange de sa mouille avec ma salive.

Je vénérais sa bite, je la pompais avec amour, je me délectais de la mouille qui sortait de son gland. Une fois la bouche pleine, j’avalais ma salive mélangée à la semence du mec. Il me tirait les cheveux et se cramponnait à mes oreilles en tirant dessus pour faire aller ma tête d’avant en arrière pour mimer les mouvements de va et vient.

D’autres mecs autour de nous dans le noir, me touchaient la bite, j’étais obligé de les repousser car la pression de ma teub était trop forte, je pouvais juter d’un moment à l’autre et je ne voulais pas jouir avant la queue que je suçais. Je ne voulais pas que cela s’arrête alors je n’astiquais pas trop vite la bite du mec, j’y allais doucement, je lui faisais du bien, mais je ne voulais pas qu’il jute de suite, je voulais faire durer le plaisir…

Toujours en continuant à me tenir par les oreilles, le mec fait rentrer sa queue en entier jusqu’au fond de ma gorge et la ressort de ma bouche en entier et la replonge jusqu’au fond de ma gorge et tout ça, lentement et en douceur.

A genoux, je redresse ma tête vers le haut au maximum pour laisser rentrer plus facilement la queue du mec sur son entier dans ma bouche. Le keum pénètre ma bouche comme s’il baisait un cul, ma gorge est l’orifice de ses plaisirs les plus vicieux.

Le gars accélère progressivement ses mouvements dans ma bouche. Son gland défonce la glotte de ma gorge et ressort de ma bouche, sa mouille sort peu à peu et augmente aux accélérations du mec. J’ai le gosier tellement tendu que le filet de mouille coule en continu au fond de ma gorge quand sa queue s’y plonge en entier dans mon gosier.

Tout en continuant ses vas et viens dans son orifice d’un soir, il sait mit à diminuer les mouvements de pine dans ma bouche, il baisait ma tronche un peu comme un lapin mais beaucoup moins rapidement. Il pénétrait lentement ma gorge en faisant des courts vas et viens au fond de ma bouche. Son gland ne quittait plus le fond de ma gorge, je me soumettais au maximum à lui et je relevais ma tête comme il fallait pour que la bite pénètre bien le fond de mon gosier sans me faire vomir.

Je laissais aller ma tête aux rythmes des mouvements du mec, je me laissais manier comme un pantin et me donnais entièrement à lui. Il prenait son pied dans ma bouche en douceur même si c’était lui le dominant dans ce plan cul.

J’ai sucé ce mec au moins pendant 45 min, voir presque 1 heure… Ma gorge s’était habituée au coups de pine de ce keum, sa teub rentrait et sortait vraiment très facilement et je n’ai pas eu des hauts le cœur.

J’ai été surpris, car les mouvements de vas et viens du mec dans ma gorge sont restés régulier et j’ai senti une grosse pression de foutre au fond de ma gorge, le gars continuait toujours sur un rythme régulier à me baiser la bouche, mais laissait gicler son jus sur ma langue et me baisait la bouche en même temps… J’avalais son sperme à chaque fois qu’un jet de son jus sortait de sa queue…

Je ne pensais pas qu’il allait juter maintenant, car d’habitude, on a plutôt tendance à accélérer les vas et viens quand on sent le jus monter, mais là, le mec est resté régulier et je n’ai pas eu le temps de réfléchir, je suis resté dans le trip avec lui et j’ai entièrement avaler tout le contenu de ce que pouvait sortir sa queue, le mec à grave pris son pied et moi j’ai grave kiffé !

Ma queue à lâchée son jus sans que je n’ai besoin de me toucher la bite. J’ai craché plusieurs jets qui ont certainement du atterrir sur pantalon du mec que je venais de vider les couilles et à qui j’avais servi d’urinoir. Il a dû se retenir de pisser un maximum de temps avant notre rencontre, il ne devait plus tenir, sa vessie était trop pleine, car ce mec n’a pas arrêté de pisser. Je n’ai jamais vu ça… Une vraie citerne de plusieurs litres.

J’ai ensuite nettoyé sa queue avec ma langue pour retirer entièrement le jus qu’il y avait encore dessus, avec ce que je venais de faire, je n’étais plus à ça près…

Son sperme avait un goût plutôt sucré et non amer comme j’ai déjà pu le constater une fois ou deux, en gouttant celui des potes quand j’étais ados…

Dès que la bite du mec était propre, je me suis relevé, j’avais mal au genoux…


Par vrai-poppers
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Mercredi 13 février 3 13 /02 /Fév 15:23

jj-black.jpgTest consomateur : Le Jungle Juice Black Label :

 

La version Black Label éveille les sens les plus cachés , libère les pulsions sexuelles, et stimule le désir, tout en permettant de se débarrasser de ses inhibitions. Vive le cul débridé ! C'est pour moi le Poppers le plus fort, le site anglais mais en francais Poppers Rapide le vent actuellement à 19.90 euros. C'est vraiment le meilleur du marché que j'ai pu testé pour le moment

 

Par vrai-poppers
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